Basilique Saint-Pierre

        type, catégorie, genre        
Ottaviano
Ligne et arrêt  
  64 P.za Stazione S. Pietro (FI)  
Ottaviano 34 Monte Del Gallo (Fs)  
  98 Cavalleggeri/Gregorio VII  
  N98
Cavalleggeri/Gregorio VII  
  190F
  881
  N904
Basilique
Saint-Pierre
Piazza San Pietro Musées du Vatican Chapelle Sixtine Chambres de Raphaël
         
         
         
         
La basilique Saint-Pierre est la plus grande église catholique au monde et un important lieu de pèlerinage. On doit son architecture actuelle, reconnaissable entre mille, à des artistes parmi lesquels Michel-Ange qui travailla sur le projet jusqu’à sa mort.
Etapes d'une construction
C’est en 64 après Jésus-Christ que l’apôtre Pierre est mort à Rome, lors des persécutions contre les chrétiens ordonnées par l’empereur Néron sur qui saint Pierre a fait peser la responsabilité de l’incendie de Rome. C’est dans le cirque érigé sur la plaine du Vaticanum, dont la construction avait commencé sous Caligula, qu’eut lieu le supplice de Pierre dont on dit qu’il demanda à être crucifié la tête en bas, par respect pour le Christ. À la suite de l’amplification des persécutions chrétiennes qui durèrent trois ans, une nécropole s’y développa. C’est donc in situ, non loin du lieu de son martyre, que Pierre fut inhumé. Très vite, une tradition populaire se créa autour du site qui devint un lieu de pèlerinage. Lorsque l’empereur Constantin remporte la victoire du pont Milvius, en 312, il l’attribue au signe de la croix et, par l’édit de Milan de 313, il autorise le culte chrétien et l’édification de lieux de culte.
Constantin veut rendre hommage au prince des apôtres et fait construire la première basilique, autour d’un trophée que les archéologues du XXe siècle nommeront « de Gaïus ». En effet, ce prêtre du IIIe siècle avait affirmé que les trophées de Pierre et de Paul se trouvaient à Rome, au Vatican.
La première basilique, commencée en 324, sera consacrée en 326 mais terminée en 350, sous le règne de Constantin Ier. Cette basilique antique a accueilli tous les pèlerins qui sont venus à Rome jusqu’au XVe siècle. En l’an 800, à Noël, Charlemagne y reçut du pape Léon III sa couronne du Saint Empire romain. C’est Jules II (pape de 1503 à 1513) qui préfère le projet de Bramante, qui prévoit un bâtiment en forme de croix grecque. L’architecte va alors démolir le transept de l’ancienne basilique et, dans son élan, détruire bon nombre de ses vestiges. Jules II et Bramante meurent à une année d’intervalle et les travaux sont arrêtés. Seuls les piliers centraux et les arcs de la coupole sont construits. Paul III (pape de 1534 à 1549) décide de relancer les travaux arrêtés depuis neuf ans, car il ne peut plus supporter l’état de délabrement de la basilique. Le pape fait alors appel à Michel-Ange en 1546. Lui aussi revient au plan de Bramante en forme de croix grecque dont il épure le style. C’est grâce au génie et à la puissance de Michel-Ange que la construction de la basilique est enfin véritablement relancée. Avant sa mort, l’artiste confectionne une maquette qui doit permettre à son successeur de suivre les plans qu’il a imaginés pour la coupole ; en effet, il n’aura le temps de construire que les colonnes et le tambour. C’est son successeur Giacomo Della Porta qui poursuivra son oeuvre. Urbain VIII (pape de 1623 à 1644) charge Gian Lorenzo Bernini, dit le Bernin, de la finition des lieux, ce qui permettra au pape de consacrer la basilique le 18 novembre 1626. Le Bernin va aussi aménager la place qui mène à la basilique. C’est sur l’ordre de Mussolini que l’avenue de la Conciliation a été percée vers le Tibre, en 1950 seulement, donnant à l’ensemble cette perspective unique.
Place Saint-Pierre
La place circulaire est entourée de deux colonnades en demi-cercle composées de 284 colonnes et de 88 pilastres en pierre de travertin. Les deux colonnades se continuent par deux bras couverts qui les relient à la basilique. La balustrade de la colonnade est ornée de 140 statues de saints réalisées par des sculpteurs élèves du Bernin. Toutes mesurent 3,20 mètres de hauteur. Les armes pontificales de la colonnade sont celles d’Alexandre VII (pape de 1655 à 1667).
Au centre de la place, se dresse l’obélisque de 25,31 mètres que l’empereur Caligula a fait venir d’Égypte en l’an 40. En 1589, le pape place à son sommet une boule contenant des reliques de la Vraie Croix.
Le parvis de la basilique est situé en haut de la place et l’on y accède par des escaliers commandés par Paul V. Il est encadré de deux statues monumentales, au sud saint Pierre, au nord saint Paul. Plus tardives, elles ont été commandées par Grégoire XVI pour la cour de la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs. La statue du prince des apôtres est une réalisation de Giuseppe de Fabris ; Pierre tient dans sa main les clés remises par le Christ. La statue de saint Paul a été réalisée par Adamo Tadolini ; le saint tient dans sa main l’épée par laquelle il est mort.
La Facade et le Narthex
La façade
La façade ne donne pas l’effet que Michel-Ange avait imaginé sur ses dessins. En effet, en modifiant la nef et en y ajoutant les quatre arches que l’on connaît, Maderno a éloigné la coupole de la façade et du même coup a fait disparaître son tambour du champ visuel..
Le deuxième niveau de la façade est percé de sept fenêtres. La fenêtre centrale, appelée loggia, est l’une des deux fenêtres les plus célèbres de la Cité du Vatican avec celle du bureau du pape, au troisième étage du palais apostolique. C’est de cette loggia que le Saint-Père s’exprime urbi et orbi, « à la ville et au monde », et qu’il donne sa bénédiction apostolique.

Le narthex
Le narthex est une survivance architecturale des basiliques romaines antiques, à une époque où catéchumènes et apostats ne pouvaient pas entrer dans l’église, mais pouvaient toutefois en entendre les cérémonies et prêches dans ce lieu extérieur et néanmoins couvert, situé entre la cour et la nef.

  • La porte centrale est appelée « Filatère », du nom de son sculpteur. Construite au XVe siècle, elle appartient à l’ancienne basilique bien que de conception tardive dans l’histoire de celle-ci. On ne l’ouvre que lors des grandes fêtes.
  • La porte à l’extrême droite est la « porte sainte ». On ne l’ouvre que lors des années saintes, soit tous les vingt-cinq ans, ou à l’occasion d’événements spéciaux décidés par le pape. C’est un don des catholiques suisses fait au Vatican en 1949. On doit la lire de gauche à droite, de haut en bas. On commence par le péché originel, en passant par la mort du Christ, l’apparition du Christ ressuscité, et l’on termine par l’ouverture de la porte sainte.

Visite de la Basilique
La nef centrale
  • La voûte, d’une épaisseur de 3 mètres et qui culmine à 45,50 mètres, est le résultat de la conjugaison de trois génies de l’architecture. Michel-Ange est l’instigateur qui réalise les plans d’un sanctuaire aux lignes pures et qui commence par construire le coeur de l’édifice, les colonnes qui soutiennent la coupole. Maderno est celui qui étend la nef à quatre arches pour en faire un vaisseau de 98 mètres de longueur. Le Bernin est celui qui donne son éclat final à l’ensemble.
  • L’effet de lumière est produit par la grande fenêtre qui domine les trois portes donnant accès à la nef centrale et par quatre fenêtres latérales situées au-dessus des quatre arches. En passant la porte Filatère, on remarque un rond de porphyre, qui provient de la basilique antique et sur lequel vingt-trois rois ont été couronnés, dont le premier Charlemagne, en 800.
  • La nef centrale se termine par la statue en bronze de saint Pierre, attribuée à Arnolfo di Cambio, qui l’aurait moulée au XIIIe siècle. La statue représente Pierre, en position assise. Il est habillé du pallium philosophique, tient les clés dans sa main gauche et donne une bénédiction de sa main droite.
    Il est assis sur un trône de marbre et placé devant une mosaïque qui reproduit un brocart aux insignes héraldiques des papes, le tout datant du XIXe siècle.
    La statue est l’objet d’une vénération populaire réelle et des foules innombrables viennent pour toucher ses pieds, qui, polis par l’usure, ont déjà été remplacés.

1. Statue équestre de Charlemagne
2. Porte de la Mort
3. Porte en bronze et inscription en caractères arabes autour de St Pierre et St Paul
4. Mosaïque de la « Navicella »
5. Statue de Constantin
6. Bénitiers soutenus par des angelots
7. Disque de porphyre où s'agenouilla Charlemagne en l'an 800
8. Pietà de Michel-Ange
13. Monument funéraire de Grégoire XIII
15. Monument funéraire de Clément XIII
16&17. Mosaïques : St Pierre marchant sur les eaux, Résurrection de Tabitha 19. Chaire de St Pierre
20. Monument funéraire d'Urbain VIII
21. Monument funéraire de Paul III
22. Autel de St Léon et son retable (le pape arrête Attila aux portes de Rome) 23. Monument funéraire d'Alexandre VII
24. Sous le baldaquin : tombe de St Pierre
25 à 28. Statues : St Longin qui transperça le Christ avec sa lance, Ste Véronique qui essuya le visage du Christ sur le chemin du calvaire, Ste Hélène, St André
29. Statue de St Pierre en bronze
32. Monument funéraire d'Innocent VIII

A : Passage entre les deux parties de la basilique : celle de Maderno et celle de Michel-Ange
B : Pilier soutenant la coupole

L’autel et la Confession de saint Pierre  
  • Le coeur de la basilique Saint-Pierre est la Confession. Il ne s’agit pas là d’un confessionnal, comme le mot pourrait le laisser entendre, mais du tombeau de Pierre qui, mort en martyr du Christ, a confessé, affirmé sa foi par le sacrifice de sa vie. Si l’on sait au XVIe siècle, de tradition, que la tombe de l’apôtre est sous la basilique, on ne sait pas exactement où, mais l’emplacement de l’autel de la basilique antique est considéré comme devant être une indication. C’est donc autour de cet autel que Bramante et Michel-Ange décident d’élever le centre de la nouvelle basilique.
    C’est Maderno qui aménage la grotte de la Confession. Sa partie primordiale est la niche, qui contient une mosaïque du IXe siècle provenant de la précédente basilique. C’est ici que sont placés les pallii, ces écharpes de laine remises aux métropolitains de l’Église et qui, en raison de la proximité de la tombe de saint Pierre, deviennent elles-mêmes des reliques.
    La Confession est un superbe ensemble de marbres éclairé par 89 flammèches qui brûlent constamment. La Confession communique avec la crypte des papes, et celle-ci avec la nécropole pétrinienne.
    Le Bernin n’est pas seulement connu pour ses colonnes extérieures qui donnent à la place son aspect si accueillant, mais aussi pour le baldaquin qu’il a construit au-dessus de l’autel de la basilique. Cet autel vient du forum de Nerva ; il contient, enchâssé, l’autel de la précédente basilique de Calixte II.
  • Le baldaquin est entièrement fait de bronze doré et, malgré sa taille imposante de 28 mètres de hauteur, il semble aérien. C’est le résultat de deux effets conjoints. D’une part, le Bernin a dessiné quatre colonnes cannelées qui en allègent le style, et d’autre part leur vis entraîne l’oeil vers le sommet, créant ainsi une aspiration.
  • La coupole qui surmonte l’autel et la Confession est l’oeuvre de Michel-Ange, qui construisit personnellement les piliers à la suite de Bramante et en acheva le tambour. Elle s’élève à 116 mètres. Sur l’entablement est inscrite la phrase fondatrice : « Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église et [… ] je te donnerai les clés du royaume des cieux » (Matthieu 16, 18-19). Aux quatre angles des piliers sont placées les statues de saint Longin, de sainte Hélène, de sainte Véronique et de saint André. Elles sont surmontées de quatre loges, que le Bernin a enrichi de huit colonnes qui entouraient la Confession dans la basilique antique.
    Au-dessus, à la rencontre des voûtes qu’on appelle pendentifs, sont représentés les quatre évangélistes sur des mosaïques. Les seize nervures de la coupole sont consacrées à la Passion du Christ ; on voit d’abord les seize papes enterrés dans la basilique, au-dessus le Christ avec la Vierge Marie, saint Joseph, saint Jean-Baptiste et les douze apôtres puis, encore au-dessus, des anges de différents ordres. Au centre, se trouve représenté Dieu entouré d’anges.


La chaire de saint Pierre

Parmi les chefs-d’oeuvre que le Bernin a multipliés dans la basilique, la chapelle de l’abside est un élément d’une rare beauté. Elle est l’écrin fameux de la chaire de saint Pierre.

En 1656, Alexandre VII demande à l’architecte de réaliser un monument magnifiant le siège apostolique de Pierre, dont les papes sont les successeurs. Le Bernin va alors composer un nouvel ensemble en bronze et bronze doré, que l’on peut admirer derrière l’autel de la Confession.
Le dossier du siège de Pierre est une autre version de la scène appelée « Pais mes brebis », où l’on voit le Christ en présence d’un Pierre plus jeune, au milieu de moutons. La chaire elle-même est soutenue par quatre docteurs de l’Église, saint Ambroise avec une mitre et saint Athanase à gauche, saint Augustin avec une mitre et saint Jean Chrysostome à droite.
La chaire est entourée d’une gloire majestueuse dont le centre de feu est un vitrail de couleur dorée portant en son sein la colombe de l’Esprit saint. La gloire de lumière est entourée de nuées chargées d’angelots joufflus et callipyges en stuc, et les rais de lumière jaillissent vers le sommet de l’abside sous la forme d’une sculpture en bronze doré. L’entablement de l’abside déclame à la fois en latin et en grec : « Ô pasteur de l’Église, tu fais paître les agneaux et les brebis du Christ. »

La nef droite, le promenoir de Michel-Ange et le bras droit du transept
  • La Pietà est exposée dans la chapelle de droite. C’est la troisième sculpture que Michel-Ange a réalisée par lui-même, à l’âge de 23 ans, sur commande de l’abbé de Saint-Denis, ambassadeur du roi de France auprès du pape en 1498, qui la destinait à l’église Sainte-Pétronille du Vatican.
    Le jeune artiste a représenté la Vierge Marie sous les traits d’une femme guère plus âgée que le Christ, son fils, qu’elle porte, mort, dans ses bras. Elle est assise et Jésus repose sur ses jambes, son linceul se mêlant au drapé de la tunique de Marie. Le Christ semble léger à Marie ; Michel-Ange a voulu montrer que la Vierge avait surmonté la peine de la mort de son fils. Le geste de la main gauche de la Vierge est touchant : elle la laisse ouverte pour montrer son consentement à la volonté de Dieu. Ce geste fait écho, avec la position légèrement inclinée vers l’avant de la tête de Marie, aux représentations de l’Annonciation, où la Mère de Dieu accueille déjà sa vocation. Son visage reflète la sérénité de la foi, sans laquelle il se mouillerait de larmes. Marie semble forte, mais sans la conviction que son fils est bien ressuscité, ses bras lâcheraient et le Christ tomberait à terre. La main droite de Marie tient pourtant fermement le corps de Jésus. C’est une sculpture exceptionnelle, au travers de laquelle l’artiste souhaitait magnifier la foi. L’artiste a signé son oeuvre sur la ceinture de la Vierge.
  • Le deuxième arc héberge, à gauche, le monument funéraire d’Innocent XII par Filippo della Valle, entouré de la Charité et de la Justice. À droite, on peut admirer le monument funéraire de la comtesse Mathilde de Canossa par le Bernin. Le pape Urbain VIII a voulu rendre hommage à cette femme qui avait réussi à faire plier l’empereur Henri IV et demandé la levée de son excommunication au pape.
  • La chapelle latérale est celle du Saint-Sacrement. Sa grille est un travail de Francesco Borromini et les stucs ont été dessinés par Giovan Battista Ricci. L’autel est également une composition du Bernin ; il est surmonté d’un majestueux tabernacle dont la forme est un hommage à Bramante.
  • On entre dans la basilique telle que Michel-Ange, après Bramante, l’avait imaginée : une croix grecque avec, en son centre, la Confession, entourée de quatre piliers monumentaux que contourne entièrement un promenoir carré. Ce promenoir droit donne accès au bras droit du transept et se poursuit au-delà. La première travée du promenoir abrite l’autel de saint Jérôme et l’urne de Jean XXIII. Le corps de l’autel contient le corps du défunt pape.
La nef gauche, le promenoir de Michel-Ange et le bras gauche du transept

On peut, quand elle est ouverte, passer du narthex à la première travée de gauche par la porte de la Mort. Cette travée est surmontée d’une coupole ovale dont le thème est le baptême.

  • On accède ensuite à la chapelle du baptistère. Au fond, Carlo Fontana a réemployé une grande vasque en porphyre antique qu’il a transformée en fonts baptismaux. Au-dessus de ces fonts se trouve une mosaïque représentant le baptême de Jésus. À gauche et à droite se trouvent deux mosaïques, l’une représentant saint Pierre baptisant saint Procès et saint Martinien, l’autre saint Pierre baptisant le centurion Cornelius.
  • Le deuxième arc abrite, à droite, le monument funéraire d’Innocent VIII provenant de l’ancienne basilique. C’est à Antonio del Pollaiolo que l’on doit ce monument de bronze doré incrusté dans le pilier. On voit le pape à la fois assis sur son trône, tiare sur la tête, et gisant sur son lit de mort. Il est entouré des quatre vertus cardinales et des trois vertus théologales.
  • La chapelle du choeur constitue le pendant de la chapelle du Saint-Sacrement située dans la nef droite. Elle accueille le clergé de la basilique. Elle contient aussi des éléments des corps de saint François d’Assise et de saint Antoine de Padoue. C’est le Bernin qui a dessiné les stalles du choeur et les chantres se placent dans les quatre tribunes qui entourent les deux buffets d’orgue. La voûte est une combinaison de dessins de della Porta et de stucs de Ricci.
  • On arrive ensuite au bras gauche du transept. L’autel du centre est dédié à saint Joseph. Il était à l’origine dédié aux saints Simon et Jude, dont les reliques sont conservées dans l’autel, mais Jean XXIII, dont le prénom de baptême était Joseph, avait tendance à donner au père adoptif de Jésus une place que l’Église ne lui avait pas encore accordée.
La Coupole
Piazza San Pietro
www.vatican.va
Ouverte de 7h30 à 18h (17h en hiver). Entrée : 10 € avec ascenseur + 320 marches ; à pied 8 € (551 marches).
L’ascension de la coupole de Michel-Ange permet de mieux apprécier bon nombre d’éléments architecturaux qui, du sol, semblent parfois abstraits, comme la technique des mosaïques qui recouvrent la coupole principale, le dallage ornemental des nefs de la basilique ainsi que de ses toits, où l’on voit les lanternons des coupoles des nefs latérales et les chapelles du promenoir de Michel-Ange. Sans oublier un panorama à 360° de la cité du Vatican, dont on peut voir le gouvernorat de l’État, les jardins, les musées, le palais apostolique et la cité administrative, la place Saint-Pierre et Rome dans son ensemble. Une vue somptueuse dont vous pourrez jouir à tout moment de la journée.
Après la montée en ascenseur, le plus difficile reste à faire, car on découvre les escaliers (320 marches) dont les degrés se décalent au fur et à mesure que l’on monte entre la coupole et le dôme, dans un interstice assez étroit. Si vous montez à pied, comptez 551 marches pour atteindre le sommet ! Une fois en haut, une pause bien méritée face au panorama est appréciable ! En descendant, on peut aller jusqu’à l’envers de la façade de Maderno et distinguer la place Saint-Pierre d’un autre angle, au niveau des statues des douze apôtres. Petit détail pratique : sur le toit, on trouvera une fontaine dont l’usage est gratuit. Profitez-en pour remplir vos bouteilles ! L’ascenseur et l’escalier de sortie mènent directement dans la basilique, où l’on entre par la porte sous le monument funéraire de Marie-Christine Sobieski.

 

Sites web
Site officiel - musées du Vatican https://www.museivaticani.va/content/museivaticani/fr.html  
Site officiel - Basilique Saint-Pierre https://www.basilicasanpietro.va/it.html  
Visite guidée https://www.rome-roma.net/basilique-saint-pierre-de-rome/visite-guidee-de-la-basilique-saint-pierre/  
     
 

Sont accessibles aux pèlerins et aux visiteurs :

Basilique de Saint Pierre

Le Musée du Trésor de la Basilique de Saint Pierre

La Coupole de la Basilique de Saint Pierre

La Nécropole du Vatican

Les Grottes du Vatican

 
 

Aller au Musée du Trésor de la Basilique Saint-Pierre

Allez aux grottes sacrées

Visite du Dôme

Visite sans guides  
Basilique  
Musée du Trésor de la Basilique Saint-Pierre

Service de visite gratuite

  • - du lundi au dimanche de 7h30 à 18h30
  • - dernière entrée au Musée à 17h50
  • - dernière entrée aux points de vente à 18h15
  • billet complet au prix de 6 €
  • billet réduit à 4 €
Visite des grottes du Vatican Les Grottes du Vatican peuvent être visitées gratuitement du lundi au dimanche de 9h00 à 18h00. Il n'est pas possible de demander des visites guidées ou de prendre des photos pendant la visite. 
Dôme

Pour visiter le Dôme, vous montez en ascenseur jusqu'au niveau de la terrasse de la Basilique. La montée au Dôme se fait à pied et n'est pas assistée par un ascenseur. 

La visite est donc déconseillée pour :

  • - les personnes souffrant de maladies cardiaques ;
  • - les personnes souffrant de claustrophobie ou de vertiges ;
  • - les personnes ayant des problèmes respiratoires ;
  • - femmes enceintes;
  • - les personnes ayant une motricité réduite ou altérée.

Horaires d’ouverture et de fermeture du Dôme :

Période estivale             

Ouverture     7h30 
Fermeture     18h00
(sauf affluence plus importante, fermeture 30 minutes plus tôt environ selon la file d'attente)

Période hivernale      Ouverture      7h30       Fermeture     17h

Le service de visite sans guide fonctionne du lundi au dimanche de 7h30 à 18h00.

  • § billet plein tarif avec ascenseur jusqu'à la terrasse puis 320 marches au prix de 10 € ;
  • § billet plein tarif avec 551 marches à pied au prix de 8 € ;
  • § billet réduit avec 551 marches à pied au prix de 5 €.
   

La basilique

Le 18 avril 1506, le samedi après Pâques, le pape Jules II (1503-1513) posait la première pierre de la nouvelle Basilique de Saint Pierre sur le site de l’actuel pylône de Sainte Véronique (sud-ouest), qui à l’époque était situé à l’extérieur de l’ancienne église Constantinienne et médiévale, à gauche de l’abside.

Selon la description du cérémoniaire Paride de Grassis, le pape est descendu dans la profonde fosse de fondation (7,45 m) via une échelle dressée pour l’occasion, en habits pontificaux. Après une brève cérémonie, le pontife a posé la première pierre de marbre de la nouvelle basilique et a placé dans le sol un vase en terre cuite avec douze médailles modelées par Cristoforo Foppa, connu sous le nom de Caradosso, pour commémorer la fondation du bâtiment.

Ainsi commençait une aventure artistique et spirituelle inédite, qui durera plus d’un siècle, à travers 20 pontificats. Tout en adoptant de temps en temps des projets et solutions architecturaux différents, les papes de la Renaissance ne voulurent jamais s’écarter de la tradition précédente, qui plaçait au centre de la Basilique le tombeau de Saint Pierre. Pour l’achèvement du majestueux édifice, ils utilisérent le travail de certains des architectes les plus célèbres de la Renaissance, tels que Fra' Giovanni Giocondo (1433-1515), Raffaello Sanzio (1483-1520), Giuliano da Sangallo (1445-1516), Antonio da Sangallo (1485-1586), Baldassarre Peruzzi (1481-1536), Michelangelo Buonarroti (1475-1564), Jacopo Barozzi da Vignola (1507-1573), Giacomo della Porta (1533-1602) et Carlo Maderno (1556-1629). Ce dernier compléta la basilique en érigeant sa façade entre 1608 et 1612.

Au XVIIe siècle, on doit à Gian Lorenzo Bernini (1598-1680) la grandiose Place Saint Pierre, tandis que d’importantes décorations à l’intérieur de la Basilique remontent au XVIIIe siècle.

Musée du Trésor de la Basilique de Saint Pierre

Le "Musée de la Basilique de Saint Pierre" consiste en l'exposition de ce que l'on appelle le Trésor de Saint Pierre. Il s'agit donc essentiellement d'une collection de mobilier liturgique, autrefois utilisé pour la célébration des offices sacrés dans la Basilique, mais aujourd'hui désaffecté.

C'est pourquoi on peut dire que le Trésor de Saint Pierre est né en même temps que la Basilique elle-même, que l'histoire de la Basilique et celle de son trésor sont la chaîne et la trame d'un même tissu narratif.

Au fil des siècles, le Trésor de Saint Pierre a connu de longues périodes d'enrichissement lent mais continu, entrecoupées toutefois de moments d'appauvrissement imprévu et dramatique.

Les pillages violents dont la Basilique Vaticane et, parfois, la ville de Rome tout entière, ont été victimes à plusieurs reprises, ont conduit à la dispersion du Trésor de Saint Pierre. Cela s'est produit dans l'Antiquité tardive, par les Wisigoths (410 après J.-C.), les Vandales (455) et les Ostrogoths (545). De nouvelles incursions ont eu lieu au Moyen-Âge – par les Sarrasins (830, 846) et les Normands (1084) - et au début de l'époque moderne, par les Lansquenets (1527).

Plus récemment, le Trésor a subi de graves réquisitions à la fin du XVIIIe siècle, lors de l'occupation de Rome et des États pontificaux par les Jacobins (1798-1799).

Après chacun de ces événements traumatisants, le Trésor de Saint Pierre s’est toujours réformé, à partir de ce qui avait survécu, grâce à la générosité de certains bienfaiteurs désireux de laisser à la Basilique vaticane un signe tangible de leur dévotion à l'apôtre Pierre.

Depuis le XIe siècle, l'office liturgique de la basilique vaticane - et donc la garde du Trésor des objets liturgiques, des vêtements et des vases sacrés - est confié au Chapitre de Saint Pierre.

Jusqu'au début du XXe siècle, le Trésor de Saint Pierre n'était pas ouvert au public. Ce n'est que sur demande que les chanoines du chapitre le montraient à des érudits ou à des hôtes de marque. En 1909, un premier aménagement muséal du Trésor fut réalisé, articulé sur deux pièces seulement. Outre le mobilier liturgique, d'autres objets liés à l'histoire de la Basilique et quelques œuvres d'art y étaient exposés.

Après un premier agrandissement du musée en 1949, une transformation plus importante fut réalisée en vue du jubilé de 1975, par l'architecte Franco Minissi. Les critères d'exposition furent entièrement revus en mettant l'accent sur la mise en valeur des œuvres spécifiques, selon le principe du "protagonisme des objets" exposés.

Dans les années qui suivirent, le musée a connu plusieurs changements et de nouveaux aménagements, qui ont encore modifié sa configuration. Cinquante ans après sa réalisation et en vue du prochain Jubilé, un nouveau projet de réaménagement et de mise en valeur du Musée est à l'étude.

Le Musée du Trésor de la Basilique est ouvert pendant les heures d'ouverture de la Basilique.

La Coupole

La coupole de la Basilique de Saint Pierre a été conçue et construite jusqu'au tambour par Michelangelo Buonarroti et achevée, après la mort du maître, par l'architecte Giacomo della Porta qui y travailla avec Domenico Fontana de 1588 à 1590, réussissant à achever la coupole en seulement 22 mois grâce au travail incessant de 800 ouvriers. La coupole, "double calotte avec cavité", prend alors une forme ogivale, plus élancée que le projet initial. Le 18 novembre 1593, la grande sphère en bronze doré surmontée de la croix, œuvre de Sebastiano Torrigiani, est placée sur la flèche de la lanterne. Le pape Clément VIII (1592-1605), en mettant fin au grandiose projet de construction, voulut commémorer l'œuvre réalisée par le pape Sixte V dans une inscription sur l'anneau à l'extrémité de la lanterne : "s. petri gloriae sixtvs pp. v. a. mdxc pontif. v" ("À la gloire de Saint Pierre, le pape Sixte V, en l'an 1590, le cinquième de son pontificat").

Sur la frise en mosaïque de l'imposte de la coupole, on peut lire en grandes lettres bleues sur fond d'or : tv es petrvs et svper hanc petram aedificabo ecclesiam meam et tibi dabo claves regni caelorvm ("Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon église et je te donnerai les clés du Royaume des Cieux", Mt. 16, 18-19).

Le pape Clément VIII fit recouvrir la superbe coupole de Michel-Ange d'une décoration en mosaïque très raffinée par de nombreux mosaïstes sous la direction de Marcello Provenzale entre 1598 et 1613. La surface de la coupole (environ 3000 mètres carrés), subdivisée par des nervures en seize compartiments cunéiformes avec des champs et des espaces préordonnés, a été entièrement recouverte d'images sur un fond de ciel étoilé doré. En procédant de haut en bas, on reconnaît les figures suivantes : 1. le Père éternel, la main tendue en signe de bénédiction ; 2. les séraphins ; 3. les anges ; 4. les chérubins ; 5. les anges (certains avec des symboles de la Passion) ; 6. le Rédempteur, saint Jean-Baptiste, la Vierge, Saint Paul et les Apôtres ; 7. les Patriarches et les évêques.

La calotte intérieure de la lanterne atteint une hauteur de 117 mètres, tandis que la croix au sommet de la coupole s'élève à plus de 133 mètres.

La Nécropole

La Nécropole Vaticane est située sous le niveau des Grottes Vaticanes, à une profondeur comprise entre trois et onze mètres au-dessous du sol de la nef centrale de la basilique. Il est possible d'y redécouvrir les témoignages historiques et archéologiques les plus significatifs de la basilique de Saint Pierre et de retracer l'ancien chemin en terre battue menant à la tombe du Prince des Apôtres.

La découverte du site remonte aux premières années du pontificat de Pie XII (1939-1958), qui voulut entreprendre une série d'explorations archéologiques dans la zone de l’Autel de la Confession Vaticane et dans la partie centrale des grottes sacrées.

Durant les fouilles furent mis au jour, des bâtiments en briques du IIe siècle, autrefois à l'air libre, devenus au IVe siècle les fondations de la première basilique pétrinienne. En effet, la Nécropole était encore en usage lorsqu'elle fut enterrée par Constantin, qui ordonna la démolition des parties supérieures des édifices funéraires et leur enfouissement, dans la ferme volonté de construire la plus grande basilique d'Occident exactement sur la tombe de Pierre : une basilique divisée en cinq nefs par 88 colonnes, un temple majestueux dont le sol se trouvait au même niveau que le "Trophée de Gaius".

Il s'agissait d'une entreprise grandiose, impliquant un mouvement de terre de plus de 40 000 mètres cubes pour niveler la double pente de la colline du Vatican, qui paraissait en pente douce d'est en ouest, mais qui était aussi en pente raide du nord au sud en direction de la vallée du cirque. La nécropole qui s'étendait sur les pentes méridionales de la colline s'est retrouvée sous la nef centrale de la basilique et il a donc fallu démolir le sommet des édifices funéraires dont la hauteur dépassait celle fixée pour le sol de la nouvelle église. Si d’une part, la basilique commandée par Constantin et le pape Sylvestre a entraîné la fin de la nécropole romaine, elle en a aussi assuré la préservation jusqu'à nos jours.

Un calcul approximatif des tombes à inhumation et à incinération suggère que les 22 bâtiments funéraires, découverts lors des fouilles, ont été conçus pour accueillir environ 1 000 sépultures. De cette multitude d'hommes, de femmes et surtout d'enfants, les inscriptions nous ont transmis les noms de quelques personnes issues de familles d'affranchis

Les Grottes

Les Grottes du Vatican sont situées au niveau inférieur de la Basilique de Saint Pierre et consistent en un système de voûtes construites entre 1590 et 1591 pour soutenir le sol de l'édifice de la Renaissance. Leur origine est cependant plus ancienne et remonte à une variante du projet que l'architecte Antonio da Sangallo le Jeune a présenté au pape Léon X après la mort de Raphaël en 1520.

En 1592, Clément VIII Aldobrandini réalisa d'importants travaux d'agrandissement et de rénovation de la crypte médiévale, qu'on appela "Clémentine", où se trouve l'autel du VIIe siècle près de la tombe de Pierre ("ad caput Sancti Petri").

Entre 1616 et 1617, le pape Paul V construisit les deux couloirs rectilignes menant à l’Autel de la Confession de saint Pierre et ajouta aux grottes les chapelles "del Salvatorello", de Notre-Dame "della Bocciata" et de Notre-Dame "delle Partorienti", qu'il fit peindre de fresques par Giovan Battista Ricci da Novara, en même temps que les périboles autour de la Confession, avec des peintures hagiographiques des événements prodigieux de la tombe de saint Pierre et des illustrations des monuments de l'ancienne basilique.

Au début du XVIIe siècle, alors que l'on démolissait les derniers vestiges de l'ancienne basilique pour achever la nouvelle Saint Pierre, les grottes du Vatican étaient en effet devenues un lieu de mémoire, une sorte de "musée" ante litteram, où statues, mosaïques, peintures et inscriptions étaient exposées comme des reliques de l'église vénérée et disparue. C'étaient les dernières images - vues intérieures et extérieures, alternant avec des reproductions de monuments singuliers - de l'ancienne basilique que l'on ne reverrait plus jamais.

Plus tard, avec le pape Urbain VIII (1623-1644), quatre petits oratoires - Sainte Véronique, Sainte Hélène, Saint Longin et Saint André - reliés à la basilique par autant d'escaliers hélicoïdaux furent construits à la base des grands piliers soutenant la coupole. Les quatre nouvelles chapelles, avec leurs accès aux grottes du Vatican, ont été conçues et construites par Gian Lorenzo Bernini, puis décorées par une équipe de peintres talentueux : Agostino Ciampelli, Guidobaldo Abbatini et d'autres.

Après le milieu du XXe siècle, d'autres espaces de dévotion ont été ajoutés autour de la tombe de Saint-Pierre avec la construction et l'agrandissement des chapelles irlandaise (1954), polonaise (1958 et 1982), lituanienne (1970), des saints patrons de l'Europe (1981), mexicaine (1992), et de l'oratoire avec la tombe de Pie XII (1958), le pape qui a encouragé les difficiles explorations archéologiques qui ont conduit à la découverte de la tombe de Saint-Pierre et de la Nécropole Vaticane. Furent également réalisées les deux connexions des grottes avec l'extérieur de la basilique : au sud sur le Largo Braschi, au nord sur le Largo de Saint Grégoire l'Illuminateur.

En 1979, un grand arc fut ouvert dans la partie centrale des grottes, pour rendre visible le front de la Confession avec la « Niche des Palliums », c'est-à-dire l'endroit le plus proche de la tombe de saint Pierre. Autour de la sépulture de l'Apôtre, une série de chapelles dédiées à la Vierge avaient été disposées comme une couronne. L'espace central des grottes où se trouvent les tombes des papes successeurs de Pierre est ainsi devenu une sorte de basilique inférieure à trois nefs.

 
 
Photos    
     
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Code  
   
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Age  
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Itinéraire vers
           
           
Description

 

Type Domaine Longueur Largeur Hauteur Superficie Périmètre Profondeur Volume

Inclinaison
Pente

Poids

canon Histoire

km

km m km2 km moyenne : m
maximale : m
km3  
Type Culte Diocèse Style Année de
contruction
Longueur Largeur Hauteur Superficie Périmètre Volume

Inclinaison
Pente

Poids

église
cagthédrale
catholique   roman
gothique
baroque
 

km

km m km2 km km3  
Type Catégorie   Ligne(s) gare précédente gare suivante Nbre
voies
Nbre
quais
Type
quai
Longueur Largeur Hauteur Superficie Périmètre Profondeur Volume

Inclinaison
Pente

Poids

gare passagers
fret
principale            

km

km m km2 km moyenne : m
maximale : m
km3  
    secondaire                            
Lignes internationales   Destinations
     
Lignes preincipales   Destinations
     
Lignes secondaires   Destinations
     
Type Catégorie Ligne(s)

Orientation

Ouest-Est
Nord-Sud

Station précédente
Station suivante Nbre voies
Nbre quais Type quais Longueur Largeur Hauteur Superficie Périmètre Profondeur Volume

Inclinaison
Pente

Poids

station de métro              

central
latéral

km km m km2 km moyenne : m
maximale : m
km3  
Type Catégorie Nbre
terminaux
Nbre piste(s) Longueur Largeur Hauteur Superficie Périmètre Profondeur Volume

Inclinaison
Pente

Poids

aéroport

civil
miliotaire
fret
mixte

   

km

km m km2 km moyenne : m
maximale : m
km3  
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